Lorsque Messari inclut votre architecture dans un rapport DePAI, vous n'êtes plus "juste un autre projet de robotique". La façon dont ils décomposent OM1 dans cet article State of AI 2025 traite essentiellement @openmind_agi comme le design de référence pour des robots interopérables. J'ai parcouru la section DePAI sur OpenMind, puis je l'ai vérifiée avec la documentation OM1 + GitHub. Les éléments s'alignent : l'architecture centrale d'OM1 fait passer tout par un Natural Language Data Bus et un State Fuser qui transforme les flux de capteurs bruts en un paragraphe d'état du monde avant qu'un agent ne décide quoi faire. À partir de là, les comportements ne sont pas codés en dur dans le firmware, ils vivent dans des configurations d'agent JSON5 sous /config/*.json5, où vous mélangez entrées, actions et invites par robot. Le dépôt n'est pas un jouet non plus : plus de 500 PR fermées déjà sur OM1 seul. ❯ DePAI : mentionne OM1 comme une architecture dans l'ensemble plus large de l'IA décentralisée ❯ Documentation OM1 : NL Data Bus + State Fuser + planification multi-LLM expliquée ❯ GitHub : runtime actif et modulaire où tout le monde peut expédier de nouvelles "compétences" de robot Comparé à la plupart des projets DeAI (calcul uniquement, ou données uniquement), OpenMind se situe à l'intersection : robots, agents et infrastructure on-chain dans une seule boucle. Si vous êtes un constructeur, ma démarche serait : lire la page d'architecture OM1, parcourir la section DePAI, puis réellement forker le dépôt et écrire un petit agent JSON5. C'est à ce moment-là que l'on comprend à quoi pourrait ressembler un système d'exploitation de robot global et interopérable.